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  • " Tout ce qui m'est arrivé, je ne l'ai jamais demandé ". Jean-Louis Bianco, directeur de campagne de Marie-Ségolène Royal dans Le Monde du 25-26/02/2007. Avec un tel entourage, l'avenir de la France promet d'être beau si Mlle Royal est élue présidente de la République...
  • " Je veux parler de l'Europe en regardant en face la crise qu'elle traverse. Je veux défendre l'espoir que l'Europe représente pour la France. [...] Le fait que le président français sera pour l'idée européenne ou qu'il en sera éloigné sera déterminant ". François Bayrou à Strasbourg le 12/02/2007. Lorsque l'on sait que 75 % de textes s'imposant aux entreprises émanent de textes européens, ne pas ou peu parler de l'Europe dans une campagne présidentielle est contraire à la réalité des faits et à la démocratie : les électeurs ont le droit de savoir comment la France agira dans l'UE dès mai 2007...
  • " Je voudrais que nos compatriotes cessent de rire quand on évoque la question, qu’ils en parlent sérieusement [...]. Je voudrais libérer le royalisme des caricatures habituelles par l’Education Nationale. [...] Mais cela suppose que les royalistes eux-mêmes comprennent que nous vivons en 2007, et non plus en 1788, ni en 1909. Le royalisme est un principe vivant, qu’il faut immerger dans la réalité d’aujourd’hui." Yves-Marie Adeline, candidat royaliste à l'élection présidentielle, sur son site Internet le 01/02/2007.
  • " - Nous avons combien de sous-marins nucléaires lanceurs d'engins, Ségolène Royal ?
    - Nous en avons un.
    - Non...
    - Deux ?
    - Nous en avons sept.
    - Oui, sept... Bon..."

    Marie-Ségolène Royal le 25/01/2007 sur RMC. N'oublions pas que le président de la République est chef des armées : voudrait-on confier la dissuasion nucléaire de notre pays à un individu qui ignore que la France possède en réalité 4 sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (Le Triomphant, L'Inflexible, Le Vigilant et Le Téméraire) ?
  • "Le courage, pour l'entrepreneur, c'est l'esprit d'entreprise et le refus de recourir à l'Etat ; pour le technicien, c'est le refus de transiger sur la qualité ; pour le directeur du personnel ou le directeur d'usine, c'est la défense de la maison ; c'est, dans la maison, la défense de l'autorité et, avec elle, celle de la discipline et de l'ordre. [...] Lorsque les ouvriers accusent les patrons d'être des jouisseurs qui veulent gagner beaucoup d'argent pour s'amuser, ils ne comprennent pas bien l'âme patronale.[...] Non, en vérité, le patronat tel que la société le fait, n'est pas une condition enviable." Jean Jaurès, dans "La dépêche de Toulouse" du 28/05/1890. La gauche, qui refuse que la droite cite ce politique, ferait bien d'en relire les écrits...
  • "Comme le disent les Chinois, qui n’est pas venu sur la grande muraille n’est pas un brave. Qui va sur la grande muraille conquiert la bravitude." Marie-Ségolène Royal, lors de son voyage en Chine le 7 janvier dernier. Et elle prétend représenter la France !
  • "Il y a une forme d'arnaque. Le réveil pourrait être douloureux". Clémentine Autain, adjointe au maire de Paris, dans Le Parisien du 03/12/2006, à propos de la démarche de Mlle Royal. On a beau être vraiment de gauche, on peut parfois avoir des éclairs de lucidité !
  • "La politique, c'est l'art d'empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde." Paul Valéry, écrivain. Et certains excellent dans la concrétisation de cet aphorisme !

  • "Pas de photo avec cigare, c'est ma sphère privée." Julien Dray, député PS, dans L'Amateur de Cigare de sept.-oct. 2006. Comme d'autres socialistes, ce parlementaire n'ose être pris sur le fait : le cigare ne peut qu'être l'apanage des riches et des nantis ! Ce membre du Club des parlementaires amateurs de Havane a tellement peur qu'il s'est assuré qu'aucune presse ne sera présente lors d'un déplacement collectif en Suisse, en septembre, auprès d'un débitant et fabricant mondialement connu...

  • "Il n'y a pas de raison que la pensée de Nicolas Sarkozy devienne la nouvelle pensée unique de la droite". Hervé Mariton, député UMP de la Drôme, dans Le Figaro du 20.9.2006. C'est tellement évident que cela fait du bien d'être lu !

  • "La question de ma candidature, on me la pose, je me la pose. Je mesure mes handicaps : je suis jeune, je suis une femme et je suis blonde. [...] Un profil comme le mien peut nous sortir de l'impasse." Clémentine Autain, adjointe au maire de Paris chargée de la jeunesse, apparentée communiste, dans Libération du 16.09.2006, évoquant sa possible candidature à l'élection présidentielle de 2007, pour représenter les antilibéraux. Jose Bové a trouvé une concurrente, nous dit le quotidien. Et modeste avec ça...

  • "Ce ne sont certainement pas les musulmans qui ont persécuté les fidèles d'autres religions, l'islam est la religion la plus tolérante." Tasnim Aslam, porte-parole du ministère des Affaires étrangères pakistanais, lors d'une conférence de presse le 15.09.2006. Propos repris par Libération. L'histoire n'arrive pas à le prouver, à l'instar de l'exécution de 3 Catholiques (fusillés) en Indonésie le 21 sept. dernier par le pouvoir en place, etc., etc., etc...

  • "La politique, ce n'est pas résoudre les problèmes, c'est faire taire ceux qui les posent". Propos d'Henri Queuille repris dans l'analyse d'Y. de Kerdrel dans Le Figaro du 15.09.2006. Henri Queuille a notamment été député de Corrèze et ministre à plusieurs reprises. Quand on sait que J. Chirac en a fait l'un de ses mentors au début de sa carrière...

  • "Que les Etats qui se sont livrés à des régularisations massives sans demander l'autorisation ou même l'avis de leurs partenaires [européens] ne s'étonnent pas aujourd'hui de se retrouver en première ligne des flots de clandestins massifs." Nicolas Sarkozy, ministre de l'Intérieur, dans Le Figaro du 15.09.2006, à propos de l'afflux continu d'immigrés clandestins en Espagne (25 000 depuis janvier dernier). Avoir régularisé 580000 sans-papiers en 2005 a été, et est toujours, perçu comme un signe comme favorable par les clandestins et candidats à l'immigration illégale : enfin des propos sensés !

  • "Il faut en finir avec cette notion politiquement correcte selon laquelle quiconque parlerait d'immigration serait raciste." John Reid, ministre travailliste britannique de l'Intérieur, repris dans Le Figaro du 13.09.2006. De plus en plus de voix en Grande-Bretagne, même à gauche, s'élèvent pour réclamer un contrôle plus strict de l'immigration. Pourquoi notre gauche française n'est-elle pas aussi réaliste et pragmatique ?

  • "Nous sommes devant une question vitale : la France va-t-elle devenir une juxtaposition sinon d'alvéoles ethniques, sexuelles, religieuses -une addition de mémoires particulières-, ou va-t-elle redevenir une communauté nationale fondée sur les principes républicains d'égalité, d'unité et de citoyenneté ? C'est le choix entre "la France d'après les Français" et "la France avec les Français". Philippe de Villiers dans Le Monde du 09/09/2006. D'autres pays lui donnent raison et remettent en cause le modèle communautariste, à l'instar de la Grande-Bretagne ou les Pays-Bas.

  • "Les autruches françaises ont le cou si long qu'il leur arrive, parfois, de trouver du pétrole". FO Giesbert dans Le Point du 07/09/2006 et dans son analyse évoquant le déni de réalité d'une partie de la classe politique et syndicale. Ces mots veulent tout dire !

  • "Pour que la France cesse d'avoir un chômage de 2 points plus élevé que la moyenne de l'Europe des Quinze, il lui faudrait continuer d'assouplir la réglementation du marché du travail et agir en même temps sur les trois leviers de l'emploi : la croissance, le coût du travail et l'incitation à travailler".
    Michel Godet, professeur au Cnam, et Michel Martinez, directeur adjoint du centre de recherche Rexecode, dans "Libération" du 31.08.2006. Quand aura-t-on enfin une politique libérale dans notre pays ?

  • "We decide on something, leave it lying around, and wait and see what happens. If no ones kicks up a fuss, because most people don't know what has been decided, we continue step by step until there is no turning back". Propos de J.-C. Juncker repris par l'hebdomadaire "The Economist" et cités dans le dernier ouvrage de Chris Patten "Not quite the diplomat". Dans cette partie du livre, C. Patten, ancien commissaire européen, cherche à expliquer le désamour pour l'UE et met en exergue ce genre de propos dévastateurs.

  • "Avez-vous déjà vu beaucoup d'armées qui, à la deuxième bataille, partent avec un général vaincu ?"
    Lionel Jospin, le 26.08.2006, à l'université d'été du PS à La Rochelle. Expliquant ainsi son retrait brutal de la vie politique juste avant les législatives. Mais il ne lui vient pas à l'idée d'appliquer son commentaire à la campagne présidentielle de 2007...

  • "Je ne suis pas pour une immigration massive, mais que l'on procède chaque année à l'examen de quelques dizaines de milliers de cas".
    Dominique Strauss-Kahn dans "Le Monde" du 01/08/2006. Et un signal de plus pour favoriser l'immigration clandestine, un !

  • "La seule manière de s'attaquer à la pollution serait d'interdire la circulation de transit dans le centre de Paris et d'imposer la circulation alternée systématiquement partout ailleurs".
    Yves Contassot, adjoint Verts au maire de Paris chargé de l'environnement, dans "Le Monde" du 02/08/2006. C'est aussi le meilleur moyen de tuer les commerçants de la capitale !

  • "Ce qui nous manque, c'est un projet collectif, une conscience d'un destin."
    Eliette Abécassis, écrivain, dans "Le Monde" du 02/08/2006. Comme quoi il n'y a pas que ceux qui sont qualifiés de "ringards" qui le disent !

  • "Mettre l'armée autour des jeunes, supprimer les allocations familiales : quand Sarkozy le dit, c'est terrible. Quand Ségolène Royal le dit, c'est acceptable". Eric Raoult, député-maire UMP du Raincy, sur France 2 le 01/06/2006. Et si les différences de jugements s'arrêtaient à cela, ce serait merveilleux !

  • "Quand on a des enfants, on est soit riche, soit catholique. Donc on peut payer." Alain Riou, ancien président du groupe Verts à l'Hôtel de Ville de Paris, au Conseil de Paris en mai 2003. Interpellé en séance publique par le maire du 1er arrondissement, M. Riou a refusé de retirer ses propos, puis il les a démentis, soutenant qu'on les avait interprétés et sortis de leur contexte. Mais personne à gauche, et a fortiori le maire de Paris, n'a bronché...

  • "En politique, presque toujours, le résultat est contraire à la prévision". F.-R. de Chateaubriand, dans Les mémoires d'outre-tombe. La phrase se passe de commentaires...

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